Benoit - 4 Septembre 2010
Dans la nuit de vendredi à samedi, un tremblement de terre a eu lieu à Christchurch.
Le tremblement de terre a atteint 7.1 sur l'échelle de Richter. Il n'y a pas eu de victimes, que des blessés, dont deux graves. C'est un miracle quand on voit l'état de certains batiments, des routes. Christchurch, contrairement à beaucoup de villes en Nouvelle-Zélande, a beaucoup de ses maisons construites en briques, qui résistent beaucoup moins bien aux séismes.
Le nombre d'habitants en Nouvelle Zélande étant de 4 millions d'habitants, forcément, quand une ville de 350,000 ames est touchée, tout le monde est touché. Ce matin, à Télécom, on pouvait lire sur l'intranet que tous les bâtiments étaient fermés en attendant qu'ils soient évalués. On pouvait voir aussi que tout était fait pour apporter un soutien logistique, mais avant tout humain. Clairement, on pouvait voir, au travers des messages, que le souci numéro un pour les dirigeants, était de venir en aide aux gens touchés par le séisme, et de leur assurer leur compassion.
Ce tremblement de terre a aussi été l'occasion de nous rappeler que nous vivons dans un pays instable géologiquement, et que nous devrions penser à avoir notre stock de survie, comme tous les organismes publics le recommandent.
Sur une note plus légère, mais aussi un peu décevante, j'ai pu constater la pauvreté des articles publiés dans la presse française couvrant l'évènement. Les imprécisions et contre-vérités succédaient aux fautes d'ortographe. Je ne suis pas moi même parfait dans ce domaine, mais je ne m'appelle pas Le Monde non plus.
Benoit, le 4 Septembre 2010